Le 20/04/23, vers 5 heures du matin, de petits objets incendiaires ont été placés dans le but de mettre le feu à deux voitures de la police ferroviaire garées dans la gare de Rimini.
Avec cette attaque, nous voulons réitérer que l’action directe sans médiation contre l’État et le capital est possible et nécessaire.
Le choix a été fait d’attaquer par le feu la police ferroviaire, misérable appendice de la police d’État, chargée de la tâche infâme de veiller à la sécurité des chemins de fer. Leur rôle de gardiens des soi-disant frontières de l’Etat était une raison de plus pour leur rendre visite sur le pas de leur porte. En effet, la surveillance constante que la police ferroviaire exerce sur les « présumés » sans-papiers constitue un sérieux obstacle pour ceux qui veulent circuler librement.
Un chaleureux salut complice à ceux qui ont incendié un fourgon de police à La Paz, en Bolivie, alors que la revendication de l’attaque indique « que tous les efforts de la lutte anarchiste continuent à vivre ».
Cette action est en solidarité avec Monica et Francisco, qui seront bientôt jugés pour plusieurs attentats à l’explosif à Santiago du Chili. Au compagnon Alfredo Cospito, qui a récemment interrompu une grève de la faim de six mois contre 41 bis et un emprisonnement hostile. Allez compagnon, la lutte continue.
A Anna, Juan, Aldo, Lucas, Ivan, Zac et à tou-te-s les prisonnier-e-s anarchistes et révolutionnaires enfermé-es dans les prisons du monde entier.
Une pensée en solidarité avec Nadia Desdemona Lioce, Roberto Morandi et Marco Mezzasalma, soumis au régime 41 bis depuis 17 ans.
Pour la libération totale de l’existant
Mort à l’Etat,
pour l’anarchie
Traduit de la nemesi